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Courtesy of Head Like An Orange

Le silence du vide et de l’absence.

Le silence et la solitude qui m’oppressent de vacuité et m’écrasent d’inanité.

Ce vaste silence néanmoins troublé par la réminiscence de ses pleurs quand il souffrait.

De mon cœur quand il se brisait.

Dix-huit mois sans aucun bruit que le frissonnement de ce bonheur enfui.

Je t’aime à en oublier l’envie devenue ce vide colossal.

Tu me manques à en déchirer mes cris.

Mon petit garçon, mon petit soleil de ma triste vie.

10 réflexions au sujet de «  »

  1. Panambi

    Me voilà devant ce magnifique coucher/ lever de soleil, pas de mots, juste envie de mettre mon bras autour de tes épaules .

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  2. yael

    J’avais pas vu tes mots …
    Les larmes coulent devant ta souffrance…ce déchirement intérieur que tu dois vivre jour après jour.
    Je t’envoie de la chaleur, autant que possible.
    Et je crois fort fort et encore plus fort en un avenir plus doux, plus chaud, plus accueillant.

    Répondre

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